– Pour me présenter : Je suis une personne asperger haut potentiel intellectuel.

Condition neurodéveloppementale complexe du trouble du spectre de l'autisme, (TSA), le syndrome d'Asperger est situé à l’extrême du continuum autistique et se manifeste dès l’enfance.

Comme pour toute autre condition du spectre de l’autisme, ses caractéristiques peuvent varier « de léger à sévère » et peuvent changer au cours du développement de la personne, aussi bien en nature qu’en intensité et ce, même à l’âge adulte.

Actuellement j’ai 63 ans – Retraité



Pour ceux qui sont atteints du syndrome d’Asperger, plus communément appelé « trouble du spectre de l'autisme » (TSA). Ce n’est pas une maladie mentale d’origine psychologique, c’est un autisme "sans déficience intellectuelle." C’est un trouble du développement neurologique d’origine génétique ... Ce trouble est la conséquence d’une anomalie de fonctionnement des centres cérébraux dont la fonction est de rassembler les informations de l’environnement, de les décoder et de réagir de façon adaptée, on se sent plus ou moins dispersé dans l’espace, déphasé dans le temps. Une personne atteinte du « TSA », à un style cognitif à part entier ; il se dénote par sa culture générale et son intérêt dans des domaines spécifiques dans lesquels il excelle. Ce qui nous discrédite c’est d’avoir une vie presque normale. « Presque ? » Oui, parce que l’on vit comme si les autres nous sont accessoires, et interprète l'amitié par l'intermédiaire du développement de l'empathie cognitive ...

Notre difficulté est sur le plan social. Et par conséquent, notre entourage nous perçoit inconsciemment comme étant peu réceptive, où autre. "ce qui est totalement faut" Et donc, ce handicap est compensé par nos aptitudes dans des domaines explicites. Notre difficulté d’avoir une conversation, démontre le fossé existant entre le langage savant et une communication normale ; dont chacun voit les réactions de l'autre et peut les interpréter. On perçoit cependant les autistes Asperger comme des gens hypers rationnels. Quelque chose comme (c’est quoi ton style ou ton genre) sur quoi faut-il se baser, pour dire de quel style ou de quel genre les gens ont ? Car ce n’est pas basé sur quelque chose de cohérent, donc la capacité de raisonner et d’analyser, serra inévitablement accaparée par quelque chose qui n’aura pas de sens.



... – Petits extraits de lettres écrites à une mère, (malheureusement pervers narcissique)
.//... Je comprends que tu ne peux pas être consciente de ce qui se produisait dans la tête de ta fille, hormis les perspectives de son handicap, s’apparentant à ton vécu ! ...
Pourtant dès le premier jour où tu as franchi ma porte avec ta fille Lisa, je l’ai accueilli avec autant de respect que j’en aurai eu pour n’importe quelle autre enfant. Et l’ayant ainsi vue, j’ai compris instinctivement de quoi elle endurait et je savais, ayant moi-même ce syndrome autistique ; que je pouvais lui venir en aide et lui apporter énormément de soutiens au-delà de ta perceptibilité ...
Le chakra du cœur s’ouvre l’hors qu’on a de la compassion ... Et ayant ressenti ce sentiment particulier, lié aux émotions personnelles de ta fille ; de ce fait, ces aptitudes, ces tendances naturelles et ces états d’âme, on était pris en compte et guidé par cette dynamique innée.

Cependant, si ce lien n’avait pas eu lieu, ce serait ses critères personnels et amour-propre qui aurait été anéantis et ainsi ta fille n’aurait de toute évidence pas eu cette singulière affectivité envers moi. Et ayant respecté cette corrélation, ayant fait abstraction de son handicap, je ne faisais que répondre à ces attentes et ces besoins, sans arrière-pensée.

.//... Car le fait que tu pensais que ta fille n’avait pas une conscience propre de ces actes, était une absurdité. Et ayant pu m’adapter à sa sémiologie dans diverses situations ; j’ai constaté qu’elle souffrait énormément des attitudes et comportements ignorants de son entourage. Ayant été réceptif à cela, j’ai vue qu’elle était très lucide des circonstances auxquelles elle traversait.

Et bien qu’elle soit autiste non verbal, elle savait exprimer correctement ces humeurs selon ces besoins.
Que ce soit de vouloir manger, se promener, ou autres circonstances ; et ainsi, quand elle était dans une situation de désappointement, ou une situation agréable, elle savait très clairement le manifester. . //... Regarde le regard de ta fille !... Puis compare ...//..., tu comprendras que quand tu m’as dit qu’elle s’habitue à sa situation, pourquoi j’ai été outrer d’entendre cela ! ...

« Autre petit extrait d’une lettre : ...//..., bien que je t’aie envoyé une vingtaine de mails te montrant que je réfutais tes actes répressifs envers moi. //... Ne souhaitant pas reconnaitre les faits, tu n’as accepté aucunes compromissions, //... il était absolument indéniable que tu ne te rendais pas compte de la véracité de tes propos. ...//... »

« Petite parenthèse sur la maman »
la perversion narcissique est un mécanisme de défense, d’une personne souffrant d’un trouble de l’altérité. Elle ne peut qu’avoir un rapport à l’autre de façade et de paraître, et au fond d’elle, elle ait incapable d’avoir un véritable attachement et de véritable amour.
Donc, elle s’adapte aux fonctionnements, aux enjeux de la relation et aux failles d’autrui.
Et ainsi, elle dévalorise l’autre, car ce n’est que son unique moyen de projection. Et cela touche tout son environnement, mais tout cela se passe à huis clos. Et c’est une triste réalité, dont on ne peut absolument rien y changer !...



Suite ...//... Je m’en suis occupé de façon intrapsychique, afin de comprendre de quoi elle souffrait précisément, pour subvenir adéquatement à ces besoins en tant qu’entité à part entière, (sans intervenir sur son éducation), et lui redonner la dignité qui lui revient.
Et quand elle manifestait un tourment dont je savais la raison, et qu’elle souhaitait par pudeur être seul dans sa chambre, je lui apportais ma compatissance, et de ce fait elle réalisait que j’étais en sa complicité et la comprenais. ...//...

Ainsi au bout de quatre semaines que nous allions la récupérer ; ayant vu que son évolution allait au-delà de tes préjugés acquis, je t’en avais personnellement avisé ! Suite à cela, ressentant que ta fille pensait fortement à moi étant heureux de lui donner cette relation qui lui manquait. (Désolé, mais il faut que tu entendes la vérité.) Car dans cette relation supra consciente de son autisme, je comprenais que ta fille souhaitait être dans l’acception. Autrement dit, s’en remettre à moi ...//... Sache que dans ses cognitions elle était consciente et quand elle était chez moi elle ressentait de la quiétude et observait tout dans les moindres détails et touché à tout. Et intriguée par mes deux tirelires, elle me les prenait et cherchait à savoir comment elles s’ouvraient ; je lui expliquais son fonctionnement et elle avait de bonnes interactions avec moi. ...//...
Et ainsi, comme tu n’avais pas suffisamment pris conscience de tes digressions mentales, n’ayant pas souhaité abandonner ta propre fille. (Alors que tu lui aies accordé ton assentiment, en lui indiquant en tapotant sur ton cœur, qu’elle pouvait avoir ma propre affection.) J’ai préféré m’abstenir sur ce sujet, car tu n’as jamais su lui ouvrir ton cœur et sache que j’étais là pour t’aider également.
Mais tu t’es sentie de plus en plus acculé dans tes propres retranchements insidieux sans rien t’apercevoir de tout cela. Et finalement, tu as fini par t’en excéder en le manifestant, prétextant, « propos injurieux, pour se protéger. »
Et n’ayant eu aucune pudeur, tu te prétendais me donner des leçons ; à 61 ans, ...//...
En te préservant de tes actes qui n’ont fait que de redonner à ta fille des circonstances plus aggravantes qu’elles ne l’ont étaient au paravent. Du fait qu’elle ne puisse pas parler, elle ne peut qu’accepter les aléatoires circonstances de ta vie, sans qu’elle puisse te donner son opinion. Du moment que tu gérais ta situation, dont Lisa ne te servait qu’uniquement de monnaie d’échange et qu’il en advienne qui pourra pour elle !...
« Me souvenant du jour où nous marchions pour prendre le tramway, auquel tu te tenais à l’écart ; je comprends à présent dans quel monde tu étais. » Mais ta fille ayant eu le cœur ouvert, vivait une relation saine et authentique avec moi. Et quand elle voulait me prendre la main avec ces doigts dont elle souhaitait entrelacer aux miens, je comprenais qu’elle souhaitait ressentir ce contact humain dont elle n’avait pas venant de toi !...
Et bien que tu donnes ton acquiescement quand je te le faisais remarquer, tu ne te posais aucune question ; car ce n’était pour toi qu’une représentation abstraite, comme si ta Lisa n’avait pas de libre arbitre ou émotions significatives propre !...

De tout ce que je vous ai confié à lire de ces extraits de lettres. Rien de cela n’a été souhaité d’une intention péjorative à l’encontre de la mère. Mais il me semblait utile de vous faire part de cette histoire très particulière, rien de plus ...
Et que vous compreniez, que ce n’était pas moi qui étais remis en question, mais cette fille autiste non verbale, ne pouvant pas exprimer à sa mère, qu’elle aurait souhaité être plus auprès d’elle, tout comme elle le fut avec moi ! ...

Ainsi je n’ai porté aucun jugement outrepassé que cela, si ce n’est de vouloir résoudre les raisons formelles du handicap dont elle avait, et auquel j’en étais également concerné ! ... Et bien que j’aie eu réciproquement de l’affection pour sa mère, mais malheureusement dans cette relation toxique dont je vivais, elle n’a pas su en prendre conscience.
De ce fait, Lisa est dans un internat scolarisé adapter et en dehors de ça, elle vie dans une famille d’accueil. Et sa mère, actuellement, ne là garde que deux weekends dans le mois.

– Nos propres tourments, liés à notre vécu, s’alimentent de notre aptitude intime à gérer nos pensées. Et bien que des pensées négatives nous hantent à l’encontre notre volonté, elles nous créent également à l’insu de notre conscient, des troubles psychosomatiques nous faisant perdre le plaisir fondamental d’apprécier notre existence.

– Dans la perversion narcissique, il y a la notion de narcissisme ; dû quelle s’attaque beaucoup au corps de l’autre et à son image. Leurs enfants sont leur faire-valoir de leur narcissisme.
Ce sont des êtres qui ont une forme de psychose blanche.

Ils sont psychotiques ; la psychose est une maladie mentale grave qui provoque des troubles sévères tels que des pertes de contact avec la réalité, et avoir des idées irrationnelles, absurdes, où déraisonnables.
Ce sont « des autistes de l’affect », mais ça ne se voit pas. « Pourquoi une psychose blanche ? » Car cela n’apparaît pas, ça ne se voit pas. Parce qu’ils n’ont pas d’émotions. « Ils n’ont des émotions, mais que pour eux-mêmes. »

– En ce qui concerne les enfants, ils grandissent d’une manière assez difficile et avec peu d’affections. « Il faut souligner que cette pathologie se conjugue également au masculin. » Une mère perverse, c’est encore plus douloureux, car les mères perverses peuvent totalement détruire leurs enfants, sans qu’elles s’en rendent compte. Les enfants sont donc élevés dans un climat d’insécurité affective, et également de culpabilité ; car c’est toujours de leur faute si ça ne fonctionne pas.

Là où : le ou la perverse narcissique ne se sent pas responsable, c’est que ce sont toujours les autres qui sont fautifs. – Sur le mécanisme de défense des personnes perverses narcissiques : « les mécanismes de défense sont récurrents, et sont identiques d’une personne à l’autre ». Et une perverse narcissique, est une personne qui s’est structuré autour de ces mécanismes-là, et qui ne peut pas fonctionner autrement. C’est-à-dire que, s’il, où elle, arrêtait de fonctionner au travers de ces mécanismes narcissiques, il, où elle s’effondrerait et perdrait la personnalité dont elle s’est forgée.



Les 4 choses inutiles face un ou une pervers narcissique

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