Stress, servitude, coercition, avilissement, dénaturation, esclavagisme, tel est l’état de vie des animaux captifs dans les cirques, les zoos terrestres et marins. De nombreuses images ont étés captées dans les cirques qui se sont installés dans
nos villes et villages. « Ne voyant pas le reflet de lui-même, l’humain ne peut pas comprendre une humanité différente. » Boycottons les cirques avec animaux. E. Pierre

 

Je déteste voir des animaux sauvages dans les cirques. Il est navrant de voir ces pauvres animaux confinés dans de petites cages et charriés à travers le pays avec peu de respect pour leur bien-être et le bien-être.
J’ai fait connaître précédemment sur ​​ce sujet mes sentiments et je crois qu’une interdiction totale est attendue depuis longtemps. Paul McCartney

« Le jour où l’on comprendra qu’une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires. » Boris Cyrulnik

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Cet animal dans notre assiette : Texte tiré de www.code-animal.com [ Homme-Animal ] & Animal Consommé

Si l’on tentait de définir le parcours de l’animal de boucherie en respectant la chronologie naissance, élevage, transport, abattage, puis transformation en carcasse, on irait à contresens de la logique du système actuel. On ne part plus aujourd’hui de l’animal pour aller vers la viande, comme pourrait le laisser sous-entendre une telle chronologie, mais, bien au contraire, de la viande pour remonter vers l’animal. C’est la viande consommée (sa qualité, sa quantité, son prix, etc.) qui définit et donc conditionne l’existence même de la bête.

À la question « à quoi sert un cochon ? », une publication jeunesse répond : « à faire de la charcuterie !  » Cette question-réponse est significative du lien qui a progressivement été rompu entre le consommateur et la nature. L’existence intrinsèque de l’animal n’aurait pas de raison d’être, le cochon n’existerait pas pour lui-même ; sa vie n’aurait de sens que par rapport à ce qu’il est en mesure de produire pour les hommes, à tel point que le morceau de viande dont il est le devenir semble être davantage considéré que l’animal lui-même.

En effet, dès sa naissance, l’animal doit répondre à des impératifs productivistes ; il doit ingurgiter des antibiotiques, grossir, produire de la chair ; la viande, quant à elle, sera émincée, cuisinée, décorée avec délicatesse, le tout à destination de l’assiette du consommateur. Et l’attention portée à cette assiette est telle qu’il est légitime de se demander si l’amour du cuisinier face à sa bavette de veau n’est pas plus fort que l’amour de l’éleveur pour ce même animal ?…

Dans les élevages, on compte les poules, les poulettes, les lapins par unité de mille têtes et la mortalité en pourcentage ; le cuisinier, quant à lui, se concentre sur sa cuisse de lapin individuelle avec infiniment plus d’attention et de respect qu’il n’en avait lorsque ce même lapin était enfermé dans un lot de mille têtes. En d’autres termes, plus on se rapproche du bout de la chaîne, c’est-à-dire de l’assiette du consommateur, plus le respect pour l’animal semble devenir grand, alors pourtant que l’on va du vivant vers le mort.

C’est donc à une réification de l’animal que le système actuel conduit, et ce, dans une indifférence quasi-générale.

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« Ne soyez pas choqué de certaines réalités ou parce qu’elles sont tout simplement : La vérité !… »

Charal :
L’abomination envers les animaux !…
L’abattage « rituel » des animaux qui, ayant échappé au rituel musulman, ont la chance d’être préalablement assommés, « il y a un mais »… Vidéo de 8mn10s

« Pensez de temps en temps à la souffrance dont vous vous épargnez la vue. »  Albert Schweitzer : Petit document
Albert Schweitzer était dans une quête passionnée de découvrir une philosophie éthique universelle, ancrée dans une réalité universelle, et de la rendre directement accessible à toute l’humanité.

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Et soudain, j’ai regardé le taureau, il y avait dans ses yeux cette innocence qu’ont tous les animaux et il m’a regardé en implorant. Cela s’est transformé en moi comme un cri qui demandait justice, je le décrirais comme une prière, parce que si quelqu’un se confesse il espère être pardonné. Je me sentais comme la pire merde du monde.
(Confession de ce toréador qui, depuis est devenu végétarien et qui lutte pour l’abolition de la tauromachie)

Pétition NON aux écoles taurines !